Une correspondance n'est pas un objet isolé.
Un échange épistolaire est à penser dans divers réseaux de correspondances (ceux des protagonistes, ceux concernant les sujets abordés, ceux des communautés auxquelles appartiennent les protagonistes de l'échange. Il intervient aussi dans d'autres contextes d'échanges comme les discussions au sein d'institutions, de congrès, de séminaires, de visites...
Les réseaux de correspondance donnent des indications sur les circulations scientifiques et les cartes de ces réseaux sont à recouper avec celles des centres éditoriaux.
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Sur les réseaux de correspondances au 18e siècle :
Lecture
Jeanne Peiffer, Faire des mathématiques par lettres, Revue d'histoire des mathématiques, 4 (1998), p. 143-157.