PHONOGRAPHÉMATIQUE CRÉOLE

Références

« L'alphabet, qui éliminait des centaines d'idéogrammes symboliques de mots ou de syllabes, et qui ne retenait que le minimum de sons simples, devait certainement beaucoup aux hiéroglyphes des Egyptiens que côtoyaient les nomades, notamment dans le Sinaï. Et pourtant, sa première expression fut cunéiforme, en utilisant l'argile comme support... »

P. Amiet, 1982, ‘Introduction historique', in Naissance de l'écriture, Paris, Réunion des musées nationaux.

écriture cunéiforme
environnement phonétique

On note cependant que dans la pratique, en créole dominiquais ou sainte-lucien, la tendance est d'utiliser systématiquement le graphème <w> en tout contexte, et jamais <r>.

étudier

Voir en document annexe.

L'écriture est la représentation de la pensée et du langage humains

André-Leickman & Ziegler, 1982, “ Naissance de l'écriture : cunéiformes et hiéroglyphes”, in Naissance de l'écriture, Paris, Réunion des musées nationaux, p. 13.

L'écriture hiéroglyphique
l'écriture pictographique
les Serments de Strasbourg

Les Serments de Strasbourg lient deux petits-fils de Charlemagne, Charles II le Chauve (Karlus) et Louis le Germanique (Lodhuvig) contre leur frère aîné Lothaire (Ludher).

La version originale est perdue. Le texte est extrait du livre de Nithard, rédigé en latin. Nithard est le petit-fils de Charlemagne (fils de sa fille, Berthe) ; il est donc le cousin de ces trois frères. C'est un proche de Charles. Le texte est rédigé en latin. Les serments sont rédigés en langue romane (qui de-viendra le français) et en langue tudesque (allemand). Charles le Chauve, roi de ce qui deviendra la France, dit la version allemande, et Louis le Germanique lit la version romane.

Source image : http://jomave.chez-alice.fr/sources/serment.html

Les textes sont respectivement

L'intégralité de chaque texte soumis aux informateurs se trouve en document annexe.

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