D’un point de vue classique, non, car on savait que la matière contient des électrons. En fournissant de l’énergie par le rayonnement électromagnétique reçu, il était classiquement concevable que les électrons captent cette énergie pour leur permettre de sortir de la matière dans le vide de l’ampoule, pour aller rejoindre l’électrode collectrice, et ainsi mesurer un courant.